Sa carrière professionnelle commence en tant que jury du CAPES pendant 10 ans. Il devient ensuite jury de l’agrégation pendant 3 ans. Grâce à sa formation à l’IUFM, il a pu continuer pendant 14 ans sa carrière de professeur d’éducation physique en athlétisme.
Quant à sa carrière sportive, Henry reste assez discret. En effet, il effectue quelques performances en athlétisme. Avec un niveau inter-régional dans les disciplines demandant une explosibilité, ici le 100m et le 200m, et surtout le saut en longueur avec quelques fois le lancer de javelot. Ainsi le jeune athlète qu’il était a touché à tout sauf à la marche.
Concernant sa carrière d\’entraîneur, durant toutes ces années, l’aîné du SATUC a su se forger une solide expérience en tant que coach. Commençant par le saut en hauteur, Henry nous raconte :
« J’ai eu de grosses satisfactions, nous dit-il en parlant de ses anciens athlètes. J’ai eu la chance de tomber sur des des gens de très grandes qualités. Ça a duré 10 ans. »
Après avoir survolé les tapis de la hauteur, il continue ensuite sur le sprint.
« J’ai été entraîneur sprint où là aussi ça s’est très très bien passé. J’ai eu la chance également de tomber sur des gens de très grandes qualités : 2 internationaux. Un est allé aux championnats d’Europe et un autre en équipe nationale d’Israël sur 100m, 200m et 400m. »
Henry possède tous les bagages nécessaires pour entraîner nos athlètes violets de la nouvelle génération. Son expérience et son diplôme de brevet d’état de troisième degré d’entraîneur fédéral fait de lui un coach d’exception. Il nous précise toutefois, que sans ces athlètes de grandes qualités, il n’y serait jamais arrivé.
Aujourd’hui ce sont eux qui viennent encore vers lui pour s’entraîner, en particulier pour les épreuves combinées. En effet, après avoir ratissé les bacs à sable de la longueur il devient l’entraîneur des épreuves combinées du SATUC.
« Il n’y a pas d’international mais on n’est pas passé loin, nous dit-il en riant. Mais bon y a des podiums aux France. »
Des objectifs sont à venir mais notre coach nous précise avant tout:
« Je suis là car je me fais plaisir. Je me fais plaisir même si ça me coûte, car je viens quatre fois par semaine, et je suis présent à toutes les compétitions. »
Un contrat passé avec ses athlètes qui pour certains s’entraînent 6 à 7 fois par semaine, tandis que d’autres 1 à 2 fois seulement, le principal restant le sérieux et la ponctualité pour notre coach à la carrière bien remplie.
Rendez-vous sur le site du TUC pour en savoir davantage sur sa section d\’athlétisme en cliquant sur le lien ci-dessous:
http://www.tucsports.com/dt_activities/athletisme/