« Plus fort, plus haut, plus vite » tel sont les mots emblématiques de Pierre de COUBERTIN fondateur des JO modernes. Un goût de l\’effort et du dépassement de soi qui font écho aux valeurs qui ont transpiré lors de cette édition 2020. Le premier de nos TUC\’istes à rentrer en piste c\’est Djilali BEDRANI. Licencié au SATUC, à Tokyo il s’est classé septième de sa série en 8’20 »23, un temps insuffisant pour qu’il puisse se qualifier pour la suite des Jeux. Malgré la déception, Djilali ressort grandi de cette expérience exceptionnelle et c’est plus motivé que jamais qu’il a hâte de reprendre le chemin des compétitions, lui qui a déjà refait chauffer ses chaussures de courses. Autre athlète à disputer ses jeux et entrainé par Sébastien Gamel, c’est Benjamin Robert. Arrivé cinquième de sa série avec un temps de 1’47 »12, il voit son aventure à Tokyo se stopper aux portes de la demi-finale. Loin de son record de juin dernier à Marseille, à 23 ans ce champion de France en 800m réalise un beau parcours dans cette édition 2020, lui qui participait à ses premiers jeux cet été.
Une médaille pour le para-escrime
Au Japon, des fin août il y avait aussi les Jeux Paralympiques et notre escrimeur du TUC escrime Maxime Valet. Dès le début de la compétition le Grec Triantafyllou a empêché Maxime de décrocher la médaille de bronze en s’inclinant 15 à 6.
Mais rien n’était finalement perdu puisqu’il réussit à décrocher la médaille de bronze avec ses coéquipiers tricolores Romain Noble et Damien Tokatlian en battant les Russes 45 à 40. Une nouvelle qui met du baume cœur et rappelle l’importance de la compétitivité dans le sport. Cette victoire fait la fierté du TUC escrime et marque la fin du parcours de nos TUC’istes au Japon.